Chaque année plusieurs dizaines de milliers de manuscrits sont proposés aux éditeurs français et seule une petite proportion connaîtra le privilège de la publication. Du coup, près d’un quart des livres sont aujourd’hui auto-publiés sur des plate-formes numériques. La France se situe ainsi au 4è rang des pays publiant le plus de livres au monde, avec près de 300 nouveaux titres par jour. Un nouveau roman a donc toutes les chances de se perdre dans le tourbillon de l’inspiration littéraire française, d’autant plus que les auteurs à succès – moins d’une vingtaine – absorbent sans pitié l’attention de la quasi-totalité des lecteurs qui guette avec impatience le dernier best-seller.
Et pourtant « TANAEL, et le livre de Vie » n’est pas un roman comme les autres. Ces pages n’ont assurément pas la prétention illusoire d’égaler les grands maîtres regrettés de la littérature française, mais elles apportent quelque chose de différent : un regard, un prisme, un angle qui peut satisfaire tous les lecteurs. La trame du roman suscitera des rires et des larmes aux plus jeunes, comme au lecteur averti. Le témoignage qui transparait donne un éclairage étonnant sur la vie des enfants des rues de Manille. Et surtout le pèlerinage spirituel que le héros nous fait vivre permettra au croyant de redécouvrir sa foi, et au non-croyant de la questionner avec sincérité.
« TANAEL, et le livre de Vie » n’est donc pas simplement un roman, c’est un guide… qui peut changer notre vie.